PRESSE
À propos dArkansas :
« Difficile de ne pas être bouleversé par cette assomption baroque, qui fait d'Arkansas bien plus qu'un roman à clef : une fable alcoolisée sur l'étrange métier d'écrivain, sur la souffrance surmontée et le sens de la vie. »
François Dufay, L'Express
« Dans Arkansas, Pierre Mérot s'amuse avec le personnage de Michel Houellebecq, mais le dépasse dans l'invention et la beauté. [...] Arkansas est un grand et beau livre qui affiche sa différence, sa liberté. Son intelligence et son invention combleront les rieurs comme les inquiets. »
Jean-Marc Parisis, Le Figaro Magazine
« Pierre Mérot se place dans la ligne des plus grands écrivains avec ce roman ambitieux et désespéré. [
] Peu de livres sélèvent ainsi, au-dessus de leur sujet, pour délivrer leur point de vue sur le monde. Peu de livres ont ce culot de placer la barre aussi haut. Il faut du coffre et du jarret pour la franchir et produire ces 353 pages baroques emplies de sang, de sueur et de larmes. Mérot est un athlète de haut niveau, de la race des Céline, Lowry ou Houellebecq. »
Gérard Pussey, ELLE
« Arkansas est un mirage, une digression, une fable fantasmagorique qui rappelle Malcom Lowry ou Mikhaïl Boulgakov. »
Frédéric Beigbeder, Lire
« Attention, roman impressionnant. Style baroque, onirique et ironique, et regard de haute volée posé sur lexistence. »
Marie-Claire
« Un roman brillant. »
Transfuge
« Il y a des loosers magnifiques, de lalcool, du sexe, du sang. De lhorreur et du rire. [
] Il y a tout ça et bien plus encore dans ce drôle de roman de ce drôle de Pierre Mérot.[
] « Le plus grand romancier alcoolique vivant » (selon Beigbeder) confirme quil occupe une place à part dans la littérature actuelle. »
La Gruyère
« Dans Arkansas, la vie éclate de toutes parts et les phrases, baroques, se déploient avec une gourmande sensualité. Une ode à la liberté dinventer et à limagination qui met en abyme la posture de lécrivain et du critique, où Pierre Mérot se rit de la reconnaissance littéraire et de limposture médiatique avec une joyeuse irrévérence. »
Le Courrier