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La Marque de Windfield
Jean Rosenthal (traduit par)
Collection : Best-sellers
Date de parution : 04/11/2010
Éditeurs :
Robert Laffont

La Marque de Windfield

Jean Rosenthal (traduit par)
Collection : Best-sellers
Date de parution : 04/11/2010

1866. Un jeune élève du collège de Windfield, non loin de Londres, se noie lors d'une escapade qui tourne au drame. Plusieurs garçons sont témoins de l'événement. Parmi eux, Edward...

1866. Un jeune élève du collège de Windfield, non loin de Londres, se noie lors d'une escapade qui tourne au drame. Plusieurs garçons sont témoins de l'événement. Parmi eux, Edward Pilaster, l'héritier de la fortune des Pilaster, une richissime dynastie de banquiers, Hugh Pilaster, un cousin pauvre d'Edward, et Micky...

1866. Un jeune élève du collège de Windfield, non loin de Londres, se noie lors d'une escapade qui tourne au drame. Plusieurs garçons sont témoins de l'événement. Parmi eux, Edward Pilaster, l'héritier de la fortune des Pilaster, une richissime dynastie de banquiers, Hugh Pilaster, un cousin pauvre d'Edward, et Micky Miranda, fils d'un grand propriétaire terrien d'Amérique du Sud.
Ce tragique accident - mais s'agit-il d'un accident ? - et les secrets qui l'entourent vont marquer à jamais ces trois garçons. Leurs destins ne cesseront plus de s'entrecroiser au fil des rivalités amoureuses et des luttes impitoyables pour s'assurer le contrôle de la banque.
Bureaux lambrissés d'acajou des grands temples de la finance... Bas-fonds où gentlemen s'encanaillent dans le jeu ou la débauche...
En faisant le récit haletant des passions qui déchirent cette famille, Ken Follett redonne vie à la fascinante Angleterre victorienne. Dans toute sa splendeur. Dans toute sa noirceur.

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EAN : 9782221107584
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 512
Format : 153 x 240 mm
EAN : 9782221107584
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 512
Format : 153 x 240 mm

Ils en parlent

REVUE DE PRESSE


À propos de La Marque de Windfield :



« Un récit mouvementé et parfaitement mené par un romancier au sommet de son art. »
Le Figaro


« Une documentation fouillée mais jamais pesante, d’incroyables rebondissements, ce qu’il faut d’amants maudits, d’anges et de catins, de duchesses et d’enfants dont le sort serre le cœur, et un petit coin de ciel bleu donnent à ce roman une originalité, une vigueur et une jeunesse tout à fait singulières. »
L’Express


« Le récit haletant des passions qui déchirent cette famille de grands banquiers dans l’Angleterre victorienne. »
La Quinzaine littéraire


« Cette exploration de l’Angleterre victorienne à travers le destin des anciens du collège de Windfield passionne comme une enquête et donne le frisson. »
VSD


« S’il est des bonnes feuilles qu’on dévore avec une boulimie presque coupable, La Marque de Windfield peut être rangée dans cette catégorie. Car, une fois plongé dans ce pavé aux multiples rebondissements, s’en détacher relève d’ "Ushuaïa", le magazine de l’extrême, tant nos yeux sont scotchés aux lignes qui défilent. Maniant le suspense avec une dextérité rare, Ken Follett nous invite tout d’abord à rejoindre le chemin des écoliers. »
Le Matin


« Un Zola qui aurait l’œil d’une caméra, c’est Follett, le plus efficace des best-sellers. »
Le Journal du Centre Dimanche

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Esperantisto 15/03/2024
    Roman qui brille par la clarté de son écriture, par son rythme haletant et par la profondeur de son intrigue plus que suffisante (nombre de personnages, thèmes traités). Je reste un peu déçu par certains passages trop schématiques, certains retournements de situations ou d'opinions qui se devinent à l'avance, et surtout par l'absence de positionnement politique de l'auteur (une ou deux phrases critiques des valeurs de l'Angleterre aristocratique sur 627 pages, c'est vraiment très peu). C'est le troisième roman de Ken Follett que je lis : "La marque de Windfield" est plus riche que "Le code Rebecca", mais "Les piliers de la terre" reste le meilleur des trois.
  • Nastie92 10/03/2024
    Manipulations, malversations, magouilles financières et politiques, complots et même, meurtres ! Ken Follett nous offre une vaste fresque qui s'étend de 1866 à 1892 et dans laquelle il nous conte la vie d'une famille de banquiers. À travers les Pilaster, leurs amis et leurs ennemis, l'auteur nous immerge dans l'Angleterre de l'époque victorienne : les règles de la "bonne" société, les conventions, la morale et les bonnes mœurs... mais aussi l'envers du décor... et c'est bien évidemment ce côté-là qui est le plus intéressant ! Transgressions, coups bas, frisson de l'interdit, conduites inavouables... tout n'est pas joli-joli dans le beau monde... Avec talent, Ken Follett nous entraîne dans un récit mené tambour battant, sans aucun temps mort, rempli de surprises et de rebondissements. La marque de Windfield est un roman haletant, l'un de ces ouvrages qu'on ne lâche qu'à la fin, avec regret.
  • bernardregencelefebvre 28/01/2024
    C'est un roman de "cape et d'épée" . Il y a les bons et les méchants. Dans les années de l'époque Victorienne ou tout les ingrédients le pouvoir, l'argent, la débauche qui l'accompagne ainsi que le puritanisme tout est fait pour que l'intrigue de la mort de Peter nous emmène jusqu'au bout du livre.
  • Antigone07 25/10/2023
    Ken Follett s'attaque cette fois-ci au monde de la finance et de l'aristocratie anglaise. Tout n'est qu'une question de pouvoir et de paraître. Leurs rejetons fréquentent le même collège huppé. Un vol a eu lieu les élèves sont confinés jusqu'à ce que le coupable se dénonce...mais il fait chaud et des élèves ont fait le mur pour se rafraichir. Un élève se noie mais là encore ce n'est qu'apparence! c'est maintenant que nous allons suivre les destinés de ces adolescents Feront-ils les bons choix pour satisfaire leurs parents et la société? Résisteront-ils au terrible Miranda?
  • VotrEnvol 05/10/2023
    Suspense, trahisons, secrets et amour sont au rendez-vous dans ce roman qui nous plonge habillement dans le monde de la finance du londres victorien. À la fin du livre, je redoutais de quitter cette ambiance pleine d'intrigues qui récompense le metrite. J'ai juste regretté que les personnages féminins soient trop assujettis aux désirs des messieurs mais ça doit être une question d'époque.
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