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La Tête ailleurs
Date de parution : 31/10/2013
Éditeurs :
Robert Laffont

La Tête ailleurs

Date de parution : 31/10/2013

« La tête ailleurs » mais la plume toujours plus incisive.
Dans ce récit, on retrouve tout le brio du mémorialiste, mais pour la première fois, il y relègue l’actualité au second plan de l’intime : on découvre alors un Nicolas Bedos inattendu, mélancolique et amoureux, qui affirme livre après livre un grand talent d’écrivain.

«Cette année, il a fait moche partout.
À l’Élysée, à Matignon. Dans la plupart des entreprises.
Dans les salles de cinéma comme dans les salles de rédaction.
Cette année, tout allait mal.
En Grèce. En Italie. Partout, sauf chez moi.
Je t’invite à passer une année sous mon toit. »
Nicolas Bedos
EAN : 9782221139837
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782221139837
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • GentlemanW 14/08/2023
    Nous pourrions croire à une belle écriture d'un bobo lassé par la vie, cherchant la balance de la vérité, de la justice avec ses incartades dans des pensées politiques, mais Nicolas Bedos glisse sur des pentes qu'il invente sans cesse. Jeux de mots et parfois gamelles avec des maux d'amour, il est emporté sur une balance devenue balançoire, pour des montées d'adrénaline soignées au mojito ou autre alcool un peu fort mais surtout avec excès, bref sans modération comme sa vie, celle confondue avec son personnage, qui est qui ? Il monte, tourbillonne, descend au plus bas car il aime tant être aimé, par sa chérie, par sa mère, par cette blonde incroyable, par ces nanas aux jambes infinies et aux jupes trop courtes, assez mini pour y glisser ses mains, pour s'enlever vite avant le canapé. Définitivement il veut être aimé, mais il doit survivre en écrivant, en analysant son monde, en espérant entre deux cigarettes que le socialisme sauvera le monde sans trop touché au sien, en dévorant ses ennemis, en caressant les cuisses des lgbtq+ mais sans aller trop haut. Il est fou, non, dingue avec ce talent bien réel des mots, en se pavanant devant le miroir de son existence facile entre le Maroc, la Corse et ses nuits parisiennes. Il est amoureux de cette blonde, non pardon, follement de lui. Divertissant par le talent des mots, moins par l'histoire.Nous pourrions croire à une belle écriture d'un bobo lassé par la vie, cherchant la balance de la vérité, de la justice avec ses incartades dans des pensées politiques, mais Nicolas Bedos glisse sur des pentes qu'il invente sans cesse. Jeux de mots et parfois gamelles avec des maux d'amour, il est emporté sur une balance devenue balançoire, pour des montées d'adrénaline soignées au mojito ou autre alcool un peu fort mais surtout avec excès, bref sans modération comme sa vie, celle confondue avec son personnage, qui est qui ? Il monte, tourbillonne, descend au plus bas car il aime tant être aimé, par sa chérie, par sa mère, par cette blonde incroyable, par ces nanas aux jambes infinies et aux jupes trop courtes, assez mini pour y glisser ses mains, pour s'enlever vite avant le canapé. Définitivement il veut être aimé, mais il doit survivre en écrivant, en analysant son monde, en espérant entre deux cigarettes que le socialisme sauvera le monde sans trop touché au sien, en dévorant ses ennemis, en caressant les cuisses des lgbtq+ mais sans aller trop haut. Il est fou, non, dingue avec ce talent bien réel des mots, en se pavanant devant le miroir...
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  • I_LOVE_TO_READ 01/03/2022
    Ça se lit bien, c'est tout à fait conforme au ton employé par Nicolas Bedos dans ses chroniques en télé... Il a le sens de la formule, c'est indéniable. Maintenant, c'est vite oublié, ça ne constitue pas une oeuvre littéraire... serai-ce toujours aussi mordant d'ici 10/15 ans ? C'est peut-être même maintenant ou jamais tant l'actu en est la matière première. Souvent amusant, à lire si on aime aussi le personnage qui sait se moquer de lui-même et a souvent je trouve un regard juste et lucide sur ce qu'il commente.
  • babichon 02/09/2016
    C'est un livre égocentrique, narcissique et caustique. Comme son auteur. Nicolas Bedos a besoin d'être aimé et il l'écris haut et fort. On le lit comme on écoute ses chroniques ou qu'on regarde ses films. Des fois un peu long, des fois un peu redondant (il l'aime...on le comprend dès la première page mais il le répète encore et encore) J'ai tout de même passé un très bon moment à le lire. Je l'ai même dévoré accompagné d'un bon verre de vin.
  • OncleDan 18/01/2016
    Beaucoup de critiques montrent que les lecteurs découvrent Nicolas Bedos sous un nouveau jour avec ce récit. Personnellement j'ai retrouvé le même genre de chroniques que celles qu'il a faites dans plusieurs émissions télévisées. La variété, l'originalité et la hardiesse des expressions qu'il utilise fréquemment alimentent notre plaisir de lecture. Cette histoire de blonde qui apparaît puis disparaît donne l'impression de n'être qu'un fil rouge artificiel pour que ce livre ressemble à un roman.
  • casscrouton 02/10/2015
    C’est la première fois que je lis quelque chose de Nicolas Bedos et je peux désormais l’affirmer : J’adore ! Quelle plume ! C’est bien la première fois me semble-t-il que je lis un auteur moderne à l’écriture si délectable et surtout, si riche ! Que de jeux de mots, de jeux de rythmes ! Nicolas Bedos redonne à la langue française un pan ludique qui nous enorgueillit de la parler. Moi qui étudie actuellement notre bonne vieille langue dans tous ses états à la faculté, je retrouve à travers l’écriture de M. Bedos le plaisir de jouer avec, que nous offraient les Grands Auteurs français. Je suis complètement adepte de son style littéraire. A chaque chapitre, au moins une phrase me sautait aux yeux et ressortait du texte comme un diamant d’un écrin. Une multitude de figures de style s’entremêlent sous notre regard émerveillé d’amateur littéraire. Certaines sont faciles, parfois lourdes, mais l’immense majorité est si savoureuse que j’aurais pu les recopier dans un cahier pour les ressortir crânement un jour. « Cette presse qui s’empresse de nous presser le citron » : Facile me direz-vous, mais efficace. La phrase est simple, le message clair et l’assonance permet l’assimilation immédiate dans notre cerveau. Cela marque ! Outre l’exquise plume de Nicolas Bedos, je dois avouer avoir adoré le fond. Je ne connais que peu cet homme (vu parfois à la télé sans le chercher vraiment) mais je suis totalement tombée sous le charme de son humour au trente millième degré grâce à ce livre. Sa pensée est déjà extrêmement intéressante à l’origine, mais exprimée comme il le fait au gré de sarcasmes violents et de drôleries touchantes, elle nous impacte de manière incontestable. Alors certes, il m’a parfois irritée. A certains moments je me suis dit « C’est bon mon gars, on a compris que Jean Dujardin c’est ton pote maintenant… » (à la limite du léchage de … parfaitement insupportable), à d’autres il m’agaçait à force de se poser en victime de ce monde. Je me suis plusieurs fois demandé s’il était le Génie littéraire de cette génération ou le Usain Bolt de la prétention. Il m’a parfois donné envie de le secouer pour le faire taire, d’autres fois je me suis retrouvée en admiration devant sa –presque- perfection littéraire et très souvent il m’a fait franchement rire. Une chose est évidente, il ne peut en aucun cas laisser indifférent et ce serait avec grand plaisir que je me replongerais dans l’écriture exaltante de Nicolas Bedos !C’est la première fois que je lis quelque chose de Nicolas Bedos et je peux désormais l’affirmer : J’adore ! Quelle plume ! C’est bien la première fois me semble-t-il que je lis un auteur moderne à l’écriture si délectable et surtout, si riche ! Que de jeux de mots, de jeux de rythmes ! Nicolas Bedos redonne à la langue française un pan ludique qui nous enorgueillit de la parler. Moi qui étudie actuellement notre bonne vieille langue dans tous ses états à la faculté, je retrouve à travers l’écriture de M. Bedos le plaisir de jouer avec, que nous offraient les Grands Auteurs français. Je suis complètement adepte de son style littéraire. A chaque chapitre, au moins une phrase me sautait aux yeux et ressortait du texte comme un diamant d’un écrin. Une multitude de figures de style s’entremêlent sous notre regard émerveillé d’amateur littéraire. Certaines sont faciles, parfois lourdes, mais l’immense majorité est si savoureuse que j’aurais pu les recopier dans un cahier pour les ressortir crânement un jour. « Cette presse qui s’empresse de nous presser le citron » : Facile me direz-vous, mais efficace. La phrase est simple, le message clair et l’assonance permet l’assimilation immédiate dans notre cerveau....
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