Lisez! icon: Search engine
Le Bûcher des vanités
Benjamin Legrand (traduit par)
Collection : Best-sellers
Date de parution : 04/09/2014
Éditeurs :
Robert Laffont

Le Bûcher des vanités

Benjamin Legrand (traduit par)
Collection : Best-sellers
Date de parution : 04/09/2014

Sherman McCoy mène une vie luxueuse entre Wall Street, dont il est l'un des jeunes lions, et Park Avenue. Un soir, revenant de l'aéroport avec sa maîtresse, il rate la...

Sherman McCoy mène une vie luxueuse entre Wall Street, dont il est l'un des jeunes lions, et Park Avenue. Un soir, revenant de l'aéroport avec sa maîtresse, il rate la sortie de l'autoroute, et se perd dans le Bronx. Au moment où il croit enfin pouvoir échapper à ce quartier...

Sherman McCoy mène une vie luxueuse entre Wall Street, dont il est l'un des jeunes lions, et Park Avenue. Un soir, revenant de l'aéroport avec sa maîtresse, il rate la sortie de l'autoroute, et se perd dans le Bronx. Au moment où il croit enfin pouvoir échapper à ce quartier de tous les dangers, deux jeunes Noirs s'avancent, menaçants, vers sa Mercedes...
Le couple parvient à s'enfuir, mais écrase l'un des deux hommes. Pour Sherman McCoy, c'est le début de la chute. Sa vie affective et professionnelle est pulvérisée, et l'univers dont il se croyait le maître flambe sur le bûcher de toutes les vanités. Graduellement, inexorablement, l'étau se resserre, sans que l'on sache, jusqu'aux toutes dernières pages, comment le cauchemar se terminera.

« La plus sinistre, la plus drôle, la plus juste des présentations de la vie new-yorkaise... » Le Monde
« Cauchemardesque, fascinant, drôle et passionnant, le livre qu'il faut avoir lu sur ce qui est aujourd'hui la " ville moderne " par excellence. » Les Échos
« " The " roman encore jamais écrit sur New York et ses épicentres mondialement nerveux : la Bourse et les conflits raciaux... L'argent, la politique, la presse, la justice, le courage et la lâcheté, du grand spectacle en cinémascope. » Marie-Claire
« Le Bûcher des vanités... cet incendie de mots éclairant la nuit contemporaine. » VSD

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782221138311
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221138311
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gmaurice37 04/12/2023
    Étant fan de la ville de New York, j'étais tombé par hasard sur ce livre il y a une quinzaine d'années. Manhattan, le Bronx, dans les années 80. Un décor de film et une histoire à couper le souffle du début à la fin. Un livre qui me revient régulièrement à l'esprit. L'épaisseur du livre ne doit pas effrayer, il se lit comme un très bon film.
  • lecture_matinale 01/10/2023
    Le bucher des vanités a été publié en France en 1987, c'est un roman qui date un peu mais qui a bien vieilli. Il s'agit ici d'une satire de la société New-Yorkaise des années 80 qui reste très actuelle de mon point de vue. Tout le monde en prend pour son grade : la presse, la justice, la haute finance, les ultras riches où les égos sont surdimensionnés. L'auteur cherche à nous immerger dans ce monde, par ces nombreuses descriptions des lieux très précises, son humour très bien sentie et très bien distillée. Le ton est satirique, il veut dénoncer les extravagances d'une société très inégalitaire et j'ai trouvé que, de ce point de vue, c'était une réussite. Les personnages sont assez caricaturaux même s'ils ne sont peut-être pas aussi éloigné de la réalité que ça. De la femme fatale, du golden boy sans limite, ni scrupule, du journaliste alcoolique et désespéré au magistrat en manque de reconnaissance, ils vont tous passer sous les feux de la critique de l'auteur. On va vivre la grandeur mais aussi et surtout la décadence d'un golden boy argenté. Il va commettre une grave erreur qui va s'avérer fatale et va précipiter sa chute. Pourra il s'en relever ? L'intrigue est bien menée sans longueur excessive. La lecture est addictive et nous tient en haleine du début à la fin. J'ai malgré tout ressenti une gêne avec un style de l'auteur assez distant. Je pense que la traduction pèse beaucoup dans ce sentiment d'inachevé voire de maladresse par moment. Au final, ça reste une bonne lecture plaisante et percutante. Je ne peux que vous la recommander chaudement. Le bucher des vanités a été publié en France en 1987, c'est un roman qui date un peu mais qui a bien vieilli. Il s'agit ici d'une satire de la société New-Yorkaise des années 80 qui reste très actuelle de mon point de vue. Tout le monde en prend pour son grade : la presse, la justice, la haute finance, les ultras riches où les égos sont surdimensionnés. L'auteur cherche à nous immerger dans ce monde, par ces nombreuses descriptions des lieux très précises, son humour très bien sentie et très bien distillée. Le ton est satirique, il veut dénoncer les extravagances d'une société très inégalitaire et j'ai trouvé que, de ce point de vue, c'était une réussite. Les personnages sont assez caricaturaux même s'ils ne sont peut-être pas aussi éloigné de la réalité que ça. De la femme fatale, du golden boy sans limite, ni scrupule, du journaliste alcoolique et désespéré au magistrat en manque de reconnaissance, ils vont tous passer sous les feux de la critique de l'auteur. On va vivre la grandeur mais aussi et surtout la décadence d'un golden boy argenté. Il va commettre une grave erreur qui va s'avérer fatale et va précipiter sa chute. Pourra...
    Lire la suite
    En lire moins
  • CarolineCF 26/08/2023
    Quel roman ! Cruel, drôle, foisonnant, énergique, vif, ..souvent cynique mais pas sarcastique quoique parfois... j'ai ri, ai eu de la peine, ai été touchée, agacée... que demander de plus à un roman lu en vacances ! Avec des scènes extraordinaires, d'un réalisme et d'une drôlerie incroyable, les plus tristes sont souvent les plus drôles....* New-York au temps des années fric, particulièrement deux quartiers que tout oppose : Park Avenue, les beaux immeubles avec portier, entrée en marbre, duplex, ascenseur privé et le Bronx, populaire, dégradé, sale, violent et dangereux. Une frontière entre les deux, la même ville mais rien en commun. Riches, voire très riches ou pauvres, délinquants, les uns en mocassins et costumes sur mesure, les autres en baskets blancs, comme sortis de la boîte et pantalon informe noir. Il est question de quel groupe on appartient : on est juif, irlandais, ou italien, et la solidarité qui va avec dans chaque groupe. On est noir ou blanc, et l'opposition qui va avec. Et puis y a les WASP, blancs, anglais et protestants, l'aristocratie d'un pays neuf. Il est question d'argent, qu'il y en ait beaucoup ou qu'il manque. Il est question aussi de New-york et de son énergie fantastique, de celle qui les anime tous, celle de devenir riche ou plus riche, d'être réélu, de gagner, d'être meilleur ou pire, d'être à la lumière, d'être reconnu. C'est l'histoire de la descente aux enfers d'un tradder de Park Avenue qui par erreur se perd dans le Bronx, un soir et percute un jeune noir. De maître du monde, il devient coupable parfait, paria. Toute sa vie, si parfaite en apparence explose aux yeux de tous. C'est aussi l'histoire d'un juge en réélection, d'un jeune procureur ambitieux mais libidineux, d'un journaliste anglais, ivrogne, fauché, arrogant et méprisant, d'un avocat ambitieux et malin - j'ai adoré ce personnage, tout va de mal en pis mais ça va aller...- d'un leader noir retors, manipulateur et pas très honnête.... et plein de personnages secondaires, les flics, les juges, avocats, patrons de cabinets financiers, d'avocats ou de presse, le maire, un chanteur d'opéra, de la famille, d'épouse et maîtresses. C'est là mon principal bémol. Livre d'hommes écrit par un homme, peu de places aux femmes, assignées à des rôles, épouse, maîtresse, mère, bonne, secrétaire...., jolie ou moche, ..Dommage. Regret personnel de ne pas tout comprendre dans le système judiciaire US, pourtant si présent dans les séries.... 1000 pages qui, une fois entrée dans l'histoire furent très agréables à lire. * l'arrestation, la mort du milliardaire...Quel roman ! Cruel, drôle, foisonnant, énergique, vif, ..souvent cynique mais pas sarcastique quoique parfois... j'ai ri, ai eu de la peine, ai été touchée, agacée... que demander de plus à un roman lu en vacances ! Avec des scènes extraordinaires, d'un réalisme et d'une drôlerie incroyable, les plus tristes sont souvent les plus drôles....* New-York au temps des années fric, particulièrement deux quartiers que tout oppose : Park Avenue, les beaux immeubles avec portier, entrée en marbre, duplex, ascenseur privé et le Bronx, populaire, dégradé, sale, violent et dangereux. Une frontière entre les deux, la même ville mais rien en commun. Riches, voire très riches ou pauvres, délinquants, les uns en mocassins et costumes sur mesure, les autres en baskets blancs, comme sortis de la boîte et pantalon informe noir. Il est question de quel groupe on appartient : on est juif, irlandais, ou italien, et la solidarité qui va avec dans chaque groupe. On est noir ou blanc, et l'opposition qui va avec. Et puis y a les WASP, blancs, anglais et protestants, l'aristocratie d'un pays neuf. Il est question d'argent, qu'il y en ait beaucoup ou qu'il manque. Il est question aussi de New-york et de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Esperantisto 30/07/2023
    Ce long roman (702 pages) de l'écrivain états-unien Tom Wolfe (1930-2018) nous raconte la triste aventure de Sherman McCoy, le meilleur vendeur d'obligations de Pierce Pierce. Sherman est donc un habitant fortuné de Manhattan, l'île au sud de New-York, qui semble rouler droit dans la vie, sur la file de gauche et plus vite que nous (en tout cas plus vite que moi). Un soir, ce qui devait arriver arrive : Sherman rate la sortie sur l'autoroute, et se perd dans "la jungle", c'est-à-dire dans le quartier du Bronx, situé plus au nord, où il ne va jamais. La suite est une extraordinaire histoire new-yorkaise, ville dont toutes les couches sociales sont dépeintes avec précision et avec une ironie très plaisante, car elle reste au service de l'histoire. Le roman est vertigineux et effrayant, montrant ce que peut rapidement devenir la vie d'un homme dans une ville où les écarts de revenus sont gigantesques et où le communautarisme crée des ghettos. La Justice peut-elle rester aveugle et maintenir l'égalité des citoyens devant la Loi quand des forces puissantes, telles que la presse et la politique, s'emparent d'un triste fait divers ? Techniquement, le roman est excellent (rythme, découpage, profondeur), il n'y a guère que l'excès de description des vêtements portés par les personnes qui m'a un peu fatigué, car c'est vraiment systématique. Les personnages semblent plus vrais que nature, leurs ambitions et leurs vanités s'entrechoquent et une chose est sûre : certains s'y brûleront. Ce long roman (702 pages) de l'écrivain états-unien Tom Wolfe (1930-2018) nous raconte la triste aventure de Sherman McCoy, le meilleur vendeur d'obligations de Pierce Pierce. Sherman est donc un habitant fortuné de Manhattan, l'île au sud de New-York, qui semble rouler droit dans la vie, sur la file de gauche et plus vite que nous (en tout cas plus vite que moi). Un soir, ce qui devait arriver arrive : Sherman rate la sortie sur l'autoroute, et se perd dans "la jungle", c'est-à-dire dans le quartier du Bronx, situé plus au nord, où il ne va jamais. La suite est une extraordinaire histoire new-yorkaise, ville dont toutes les couches sociales sont dépeintes avec précision et avec une ironie très plaisante, car elle reste au service de l'histoire. Le roman est vertigineux et effrayant, montrant ce que peut rapidement devenir la vie d'un homme dans une ville où les écarts de revenus sont gigantesques et où le communautarisme crée des ghettos. La Justice peut-elle rester aveugle et maintenir l'égalité des citoyens devant la Loi quand des forces puissantes, telles que la presse et la politique, s'emparent d'un triste fait divers ? Techniquement, le roman est excellent (rythme, découpage, profondeur), il...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Nick1905 14/06/2023
    Le bûcher des vanités est sorti il y à 35 ans mais paraît encore tellement d'actualité. Shetman McCoy est un riche aristocrate profitant de Wall Street mais un jour sa vie bascule. Là commence sa descente aux enfers.... C'est très bien écrit, les dialogues sont vraiment percutant. Tous les personnages sont attachants (à leur manière). J'ai vraiment aimé cet ouvrage et le recommande.
Abonnez-vous à la newsletter Robert Laffont
Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.
Chaque mois, recevez toutes les actualités de la maison en vous abonnant à notre newsletter.