Lisez! icon: Search engine
Prends-moi pour une cruche
Guide de survie de la femme en milieu débile
Date de parution : 02/03/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

Prends-moi pour une cruche

Guide de survie de la femme en milieu débile

Date de parution : 02/03/2017
Ce livre est né chez le coiffeur. 
« Vous avez les pointes sèches, on va faire un masque… Les cheveux aussi ressentent le stress, vous savez… Avec les vies de fous...
Ce livre est né chez le coiffeur. 
« Vous avez les pointes sèches, on va faire un masque… Les cheveux aussi ressentent le stress, vous savez… Avec les vies de fous qu’on mène… En tout cas, vous ne faites pas votre âge ! »


Ce compliment capillo-facial m’a fait vraiment plaisir… jusqu’à...

Ce livre est né chez le coiffeur. 
« Vous avez les pointes sèches, on va faire un masque… Les cheveux aussi ressentent le stress, vous savez… Avec les vies de fous qu’on mène… En tout cas, vous ne faites pas votre âge ! »


Ce compliment capillo-facial m’a fait vraiment plaisir… jusqu’à ce que je réalise que la coiffeuse – que je voyais pour la première fois – ne connaissait pas mon âge. Et là, bingo, je me suis demandé pourquoi ça me réjouissait et pourquoi c’était mieux de ne pas faire son âge. J’ai trouvé ça complètement con. Je me suis trouvée complètement con.
Puis je me suis dit qu’il devait exister d’autres situations, d’autres idées débiles, d’autres panneaux dans lesquels je tombais. J’en ai trouvé plein, ils sont tous dans ce livre. Pourquoi ? Pour dire aux femmes d’arrêter de gober toutes les âneries qu’on leur raconte. Elles s’en sentiront beaucoup mieux.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782221199251
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 144
Format : 110 x 177 mm
EAN : 9782221199251
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 144
Format : 110 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Citelle 22/09/2023
    Sur un ton humoristique, Delphine Apiou revient sur les injonctions faites aux femmes : il faut être jeune, mince, sensuelle, être soi-même, avoir confiance en soi, auto-entrepreneur (-euse ?), mère parfaite d'enfants surdoués, tout en acceptant d'être moins payée que les hommes. Injonctions que les femmes s'assènent elles-mêmes parfois. Mais dans l'ordre : Faire son âge n'est pas interdit, et de toutes façons, la vie n'est pas une cure de jouvence, Le régime plaisir n'existe pas, et non, la chrono-nutrition ne dit pas "10h10, je me ferais bien un sandwich au camembert", Il n'est pas nécessaire de poser avec une moue sensuelle sur les réseaux sociaux, Etre soi-même est très relatif, et on connaît forcément quelqu'un qui est lui-même, mais qu'on aimerait bien qu'il soit quelqu'un d'autre, Ne pas avoir confiance en soi peut être signe d'intelligence, et en avoir trop peut être signe de c.., heu..., bêtise, Blogueuse ou gérante de chambre d'hôte, c'est un métier, cela ne s'improvise pas d'un claquement de doigts, L'éducation positive à ses limites et on peut avoir parfois une réaction de mère "normale", Un gamin qui sait écrire son prénom à cinq ans n'est pas forcément surdoué, Quant à l'inégalité salariale : si les hommes avaient eu à traiter ce problème pour eux-mêmes, cela aurait été réglé en 3-4 ans. Tout est drôle et léger, quelques bonnes punchlines font sourire (test : comment distinguer un pervers narcissique d'un enfoiré). Une lecture rapide dont on sort requinquée.Sur un ton humoristique, Delphine Apiou revient sur les injonctions faites aux femmes : il faut être jeune, mince, sensuelle, être soi-même, avoir confiance en soi, auto-entrepreneur (-euse ?), mère parfaite d'enfants surdoués, tout en acceptant d'être moins payée que les hommes. Injonctions que les femmes s'assènent elles-mêmes parfois. Mais dans l'ordre : Faire son âge n'est pas interdit, et de toutes façons, la vie n'est pas une cure de jouvence, Le régime plaisir n'existe pas, et non, la chrono-nutrition ne dit pas "10h10, je me ferais bien un sandwich au camembert", Il n'est pas nécessaire de poser avec une moue sensuelle sur les réseaux sociaux, Etre soi-même est très relatif, et on connaît forcément quelqu'un qui est lui-même, mais qu'on aimerait bien qu'il soit quelqu'un d'autre, Ne pas avoir confiance en soi peut être signe d'intelligence, et en avoir trop peut être signe de c.., heu..., bêtise, Blogueuse ou gérante de chambre d'hôte, c'est un métier, cela ne s'improvise pas d'un claquement de doigts, L'éducation positive à ses limites et on peut avoir parfois une réaction de mère "normale", Un gamin qui sait écrire son prénom à cinq ans n'est pas forcément surdoué, Quant à l'inégalité salariale : si les hommes avaient eu à traiter ce problème pour...
    Lire la suite
    En lire moins
  • GentlemanW 18/09/2023
    Un livre débuté et oublié dans une pile de lectures.... Repris et rapidement fini car ce sont des courtes séquences de réflexion ou d analyses de la vie féminine avec différents angles : constats purs et durs de la vraie, ironie parfois, sarcasmes aussi, déceptions face à la forte inertie masculine vers une équité réelle. Oui tout cela est vrai même avec un brin d humour. Mais faut-il en rire pour voir non pas le féminisme avancer mais une vie avec un équilibre naturel hommes femmes dans les actions politiques, dans la vie au quotidien, dans les rapports amoureux et charnels, dans les réflexes et les échanges entre nous tous. Divertissant et si réaliste.... doit-on en rire et entendre un miracle ???? #x1f914
  • emilie5335 18/02/2019
    Un petit guide politiquement incorrect qui se donne pour but de mettre à mal tous les clichés, « toutes les idées débiles », qui empoisonnent bien souvent la vie des femmes, comme par exemple de penser qu’il est possible et même plus que souhaitable pour une femme de faire moins que son âge, de croire qu’un régime peut être efficace, d’espérer qu’on résoudra tous nos problèmes « en étant nous-mêmes », d’imaginer pouvoir vivre de son blog ou de sa maison d’hôtes, de tout miser sur l’éducation positive, de n’exister qu’à travers les réseaux sociaux…L’auteur attaque avec une ironie souvent bien grinçante tous les travers actuels, tous les diktats imposés aux femmes (bien souvent par elles-mêmes d’ailleurs)…et honnêtement il y a un petit côté « exutoire » qui fait un bien fou !
  • AnaVerbania 15/03/2017
  • Exquimots 13/03/2017
    « Le pire ennemi de la femme ne serait-il pas devenu la femme elle-même ? » C’est ce que Delphine Apiou va tenter de nous démontrer, avec humour, toujours. « Dans ce petit livre, j’ai voulu dénoncer un certain nombre d’idées reçues qui, sous couvert d’émancipation, de liberté et de vie meilleure ne sont en fait que source de frustrations… J’ai aussi voulu en rire, comme pour mieux m’en débarrasser. » Rire pour mieux s’en débarrasser, cela ne vous rappelle rien ? Moi, cette citation m’a rappelé son premier roman, Avant, j’avais deux seins, qui traitait d’un sujet plus délicat… le cancer du sein. Dans ce second roman, Delphine Apiou interpelle à nouveau les femmes sur des thématiques plus légères, tout en les faisant rire. « Wonder women du monde entier, il est grand temps de rétablir la vérité et d’arrêter de gober toutes ces idées qui au final nous desservent. » N’êtes-vous pas d’accord ? Et si on arrêtait de s’apitoyer sur notre sort ? La vie est belle non, et bien trop courte. Pourquoi ne pas profiter de chaque instant ? Elle nous explique qu’à vouloir être trop féministe, on en devient un peu cruche. Bien sûr, la lutte pour l’égalité des sexes et l’émancipation des femmes sont des combats qu’il faut soutenir. Personnellement, c’est plutôt tout le reste qui me faire rire… tout ce dont parle l’auteure. Et vous allez voir que sur ça, peu importe ce que l’on pense… on est toute pareille ! En quelques mots, l’auteure aborde des points « sensibles » qui touchent toutes les femmes tels que la peur de vieillir, de grossir, ou de ne plus susciter le désir chez l’autre. Alala… que les femmes sont compliquées ! Dites-vous que nous sommes comme des fleurs délicates. Avec l’âge, nous poussons, nous nous embellissons… puis fatalement… nous nous flétrissons. C’est le cycle de la vie. Cela ne nous empêche pas pour autant de rester magnifiques ! Delphine Apiou n’y va pas avec le dos de la cuillère… et TOUT y passe : les hommes, notre relation aux autres et aux réseaux sociaux, la sexualité, l’éducation des enfants… Elle nous parle sans détours de tous nos complexes pour pouvoir plus facilement les assumer. Du génie !« Le pire ennemi de la femme ne serait-il pas devenu la femme elle-même ? » C’est ce que Delphine Apiou va tenter de nous démontrer, avec humour, toujours. « Dans ce petit livre, j’ai voulu dénoncer un certain nombre d’idées reçues qui, sous couvert d’émancipation, de liberté et de vie meilleure ne sont en fait que source de frustrations… J’ai aussi voulu en rire, comme pour mieux m’en débarrasser. » Rire pour mieux s’en débarrasser, cela ne vous rappelle rien ? Moi, cette citation m’a rappelé son premier roman, Avant, j’avais deux seins, qui traitait d’un sujet plus délicat… le cancer du sein. Dans ce second roman, Delphine Apiou interpelle à nouveau les femmes sur des thématiques plus légères, tout en les faisant rire. « Wonder women du monde entier, il est grand temps de rétablir la vérité et d’arrêter de gober toutes ces idées qui au final nous desservent. » N’êtes-vous pas d’accord ? Et si on arrêtait de s’apitoyer sur notre sort ? La vie est belle non, et bien trop courte. Pourquoi ne pas profiter de chaque instant ? Elle nous explique qu’à vouloir être trop féministe, on en devient un peu cruche. Bien sûr, la lutte pour...
    Lire la suite
    En lire moins
Abonnez-vous à la newsletter Robert Laffont
Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.
Chaque mois, recevez toutes les actualités de la maison en vous abonnant à notre newsletter.