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Retour à Brideshead
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 24/04/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

Retour à Brideshead

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Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 24/04/2017

Invité à Brideshead, la magnifique demeure familiale de son ami Sebastian, le jeune Charles Ryder, étudiant à Oxford, y découvre les moeurs et l’art de vivre de l’aristocratie anglaise.
Au travers...

Invité à Brideshead, la magnifique demeure familiale de son ami Sebastian, le jeune Charles Ryder, étudiant à Oxford, y découvre les moeurs et l’art de vivre de l’aristocratie anglaise.
Au travers de cette grande fresque, se déroulant durant les Années folles et enluminée de personnages tous plus excentriques les uns que...

Invité à Brideshead, la magnifique demeure familiale de son ami Sebastian, le jeune Charles Ryder, étudiant à Oxford, y découvre les moeurs et l’art de vivre de l’aristocratie anglaise.
Au travers de cette grande fresque, se déroulant durant les Années folles et enluminée de personnages tous plus excentriques les uns que les autres, le grand Evelyn Waugh a voulu « suivre les cheminements de la volonté divine au sein d’un monde païen ».
Humour, cynisme et gravité mêlés font de ce roman, le plus célèbre de l’auteur du Cher disparu et d’Une poignée de cendres, un des plus purs chefs-d’oeuvre de la littérature anglaise du XXe siècle.

« Un roman magnifique, sorte d’À la recherche du temps perdu de cet écrivain britannique plus connu pour ses œuvres satiriques. » Les Inrocks
« L’un des 100 meilleurs romans de tous les temps. » Time Magazine

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EAN : 9782221200070
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 624
Format : 122 x 182 mm
EAN : 9782221200070
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 624
Format : 122 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lecteur_75015 05/10/2023
    J’ai découvert cet auteur grâce à Babelio : je me suis alors empressé d’emprunter un de ses romans en bibliothèque. J’ai beaucoup apprécié l’atmosphère typiquement britannique qui se dégage dès les premières pages, Je pense même que l’intrigue n’est pas si importante et s’efface devant la singularité d’Outre-Manche.
  • Pasteau 02/02/2023
    Il faut passer l'étape ennuyeuse des 100 premières pages. Puis on est pris dans le huis-clos de cette famille d'aristocrates catholiques anglais. Le narrateur, lui, est agnostique. Le thème central c'est le catholicisme, la notion de péché, de fatalité sur fond de fin du monde et de guerre imminente. Tous les personnages ont des vies désespérées : les pères sont absents, lointain ou indifférent. La mère culpabilise. Les quatre enfants ont conscencieusement gâché leur vie. Le narrateur, comme son père, se désintéresse de sa famille et divorce pour rester seul finalement. Ce livre écrit en 1944 décrit la fin d'une société et exprime les inquiétudes métaphysiques de son auteur. Le contexte rappelle celui de Dowton Abbey sans la joie de vivre. Le style est parfois lourd et indigeste, presque incompréhensible, peut-être est ce mal traduit.
  • yann-frat 12/06/2022
    Où je l’ai acheté ? Commandé et reçu très vite sur Recylivre, l’Amazon avec une conscience. Résumé Pendant la seconde guerre mondiale, un soldat anglais revient par hasard dans une propriété qu’il a bien connue. L’occasion de revenir en flash-back sur sa vie. Oui… Le style (en tous cas dans la traduction de Georges Belmont que j’ai lue) est très agréable, les personnages et les situations délicieusement anglais, le tout est follement « down town abbey » donc oui on se laisse couler dans ce livre comme dans un bain chaud (à la bergamote évidemment) Non… Tout d’abord fondamentalement le sous texte de ce texte est une société de castes parfaitement assumée qui me laisse vaguement pantois (j’ai beau ne pas être communiste j’ai quand même des limites et ce tout petit milieu social fini par me rendre claustro). D’autre part, la narration, en deux « livres » de tailles inégales, abandonne subitement le sujet principal du premier livre (Sébastian) pour aborder le second totalement différemment (vie privée du narrateur). Là aussi j’avoue que je suis resté un peu pantois et la justification de retour aux années quarante en fin de deuxième livre ne me convainc pas. En fait tout le deuxième livre ne me convainc pas… Au final… Ca se lit bien, c’est pas mal écrit, c’est très anglais, assez distrayant mais pas de quoi se lever la nuit pour le relire quoi… Où je l’ai acheté ? Commandé et reçu très vite sur Recylivre, l’Amazon avec une conscience. Résumé Pendant la seconde guerre mondiale, un soldat anglais revient par hasard dans une propriété qu’il a bien connue. L’occasion de revenir en flash-back sur sa vie. Oui… Le style (en tous cas dans la traduction de Georges Belmont que j’ai lue) est très agréable, les personnages et les situations délicieusement anglais, le tout est follement « down town abbey » donc oui on se laisse couler dans ce livre comme dans un bain chaud (à la bergamote évidemment) Non… Tout d’abord fondamentalement le sous texte de ce texte est une société de castes parfaitement assumée qui me laisse vaguement pantois (j’ai beau ne pas être communiste j’ai quand même des limites et ce tout petit milieu social fini par me rendre claustro). D’autre part, la narration, en deux « livres » de tailles inégales, abandonne subitement le sujet principal du premier livre (Sébastian) pour aborder le second totalement différemment (vie privée du narrateur). Là aussi j’avoue que je suis resté un peu pantois et la justification de retour aux années quarante en fin de deuxième livre ne me convainc pas. En fait tout le deuxième livre ne me...
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  • CzarnyPies 02/10/2021
    Entre 1920 et 1960, il y a une forte mouvement chez les écrivains francais d'embrasser le communisme. En Angleterre, par contre, les homes de lettres se convertissaient a l'Église Catholique Romaine. Les auteurs Catholiques anglaises méritent d'être plus connus en France qu'ils sont. Parmi les grands noms figurant J.R.R. Tolkien, Malcom Muggeridge, Dorothy Sayers, Muriel Spark, Graham Greene et Evelyn Waugh. La lecture de Retour a Brideshead offre une excellente opportunité de mieux connaitre cette tendance marquante chez les Anglais. Le protagoniste Charles Ryder est un arriviste qui veut faire un entrée chez la grande noblesse anglaise. Étudiant a Oxford, il fait un grand pas dans cette direction quand il devient l'amant du jeune lord Sebastien Flyte. La relation entre Ryder et Flyte va bon train pour plusieurs années mais deux problèmes surviennent. Premièrement, Sebastien sombre dans l'alcoolisme. Deuxièmement, Charles Ryder commence a sentir plus attire par Julia la sœur de Sebastien que par Sebastien ce qui pousse Sebastien a boire davantage. Charles se fait chasser par la famille Flyte quand il donne Sebastien de l'argent pour procurer de l'alcool en dépit de la demande exprès de la mère de Sebastien de ne pas le faire. Les années passent. Charles se marie , devient un peintre célèbre et se divorce. Sebastien part en voyage et finit au Maroc ou un monastère lui donne des travaux par charité. Julia se marie et se divorce. L'hasard réunit les anciens amis. Ils semblent être sur le point de se marier quand le père de Julia revient en Angleterre avec sa maitresse. Sur son lit de mort, le père accepte de recevoir les derniers rites. Ce geste inattendu inspire Julia de respecter l'interdit catholique de ne pas s'engager dans un deuxième mariage du vivant de son époux. Au début Charles trouve le comportement de Julia juvénile, mais éventuellement il apprend a l'admirer pour sa foi et sa rectitude morale. C'est une très belle histoire d'un amour manque qui fait couler abondamment des larmes dans le monde Anglophone depuis soixante-dix ans. Les francais doivent absolument lire ce roman par solidarité avec leurs voisin de l'outre manche. Entre 1920 et 1960, il y a une forte mouvement chez les écrivains francais d'embrasser le communisme. En Angleterre, par contre, les homes de lettres se convertissaient a l'Église Catholique Romaine. Les auteurs Catholiques anglaises méritent d'être plus connus en France qu'ils sont. Parmi les grands noms figurant J.R.R. Tolkien, Malcom Muggeridge, Dorothy Sayers, Muriel Spark, Graham Greene et Evelyn Waugh. La lecture de Retour a Brideshead offre une excellente opportunité de mieux connaitre cette tendance marquante chez les Anglais. Le protagoniste Charles Ryder est un arriviste qui veut faire un entrée chez la grande noblesse anglaise. Étudiant a Oxford, il fait un grand pas dans cette direction quand il devient l'amant du jeune lord Sebastien Flyte. La relation entre Ryder et Flyte va bon train pour plusieurs années mais deux problèmes surviennent. Premièrement, Sebastien sombre dans l'alcoolisme. Deuxièmement, Charles Ryder commence a sentir plus attire par Julia la sœur de Sebastien que par Sebastien ce qui pousse Sebastien a boire davantage. Charles se fait chasser par la famille Flyte quand il donne Sebastien de l'argent pour procurer de l'alcool en dépit de la demande exprès de la mère de Sebastien de ne pas le faire. Les années passent. Charles se marie ,...
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  • henrimesquida 22/05/2021
    Ce "retour à Brideshead" est un roman à la fois mélancolique, décadent et avec une certaine touche d'humour plutôt noir, ou cynique. Evelyn Waugh s'est démarqué en tant qu'auteur de livres de voyage divertissants et, surtout, de romans satiriques amusants parfois même très drôles mais il a également écrit quelques romans bien moins drôles et très bien écrits comme par exemple avec ce fameux e très célèbre (du moins dans les pays anglosaxons) "Return to Brideshead", écrit pendant une convalescence, au milieu de la guerre mondiale. Le roman est publié en 1945. Il roman raconte la relation du narrateur, le jeune Charles Ryder, avec la noble famille Flyte (ou Marchmain ou Brideshead ... je ne sais pas comment le dire, mais je ne suis qu'un pauvre roturier…): d'abord, avec le dissolu Sébastien, puis avec sa sœur Julia, bien qu'en réalité, toutes les composantes de la famille particulière passent sous le regard scrutateur d'un observateur aussi privilégié, qui en dresse pour nous une vision globale et complète- d'autant plus qu'il a l'œil puisqu'il est peintre - Son récit nous fait assister à la défragmentation et à la décadence de cette famille qui est également censé refléter la décadence et la fin d'une époque entière, celle de la splendeur maximale de l'Empire britannique. (j'ai pensé en le lisant aux damnés de Visconti au guépard de Giuseppe Tomasi de Lampedusa (encore Visconti) ,au monde d'hier de Zweig, ainsi qu'à la recherche de Proust.) Chronique familiale donc : portrait de ce que nous appellerions aujourd'hui famille «déstructurée» Une famille unique, d'ailleurs, parce que leur statut de nobles, riches et décadents s'enrichit par le fait qu'elle soit catholique dans un monde anglican et donc encore plus minoritaire d'autant plus que dans la Grande-Bretagne de ces années - celles de l'entre-deux-guerres - c'était encore un choix assez délicat. En fait, la présence intense de la religion catholique est des plus importantes dans ce roman. Waugh d'ailleurs appartenait au groupe rare et sélect des écrivains britanniques convertis au catholicisme (comme Chesterton, Graham Greene et Muriel Spark…). Il en profite pour régler ses comptes à sa propre religion en signalant avec beaucoup de conviction et d'à propos ses contradictions et ses absurdités . (en fait, les pages les plus ouvertement humoristiques du roman sont celles de la conversion de l'imprenable Rex). A moins qu'il ne brocarde ses aspects ridicules de sa foi pour mieux mettre en relief ce qu'elle a de grand?... Quelque chose de similaire se produit à propos de la relation homoérotique-sentimentale entre Charles et Sébastien dans la première partie du roman-, à peine dissimulée par la figure de sa sœur Julia : elle est latente, sinon "implicitement explicite ", dans une grande partie du livre, mais de telle manière que l'on soupçonne que les pensées de Waugh étaient innocentes et que c'est nous lecteurs qui avons des drôles d'idées (ce qui marche sur bon nombre de lecteurs même de nos jours qui n'y voit que du feu).. Le vrai thème du roman, je crois, est celui du bonheur ou plutôt de l'impossibilité d'y parvenir malgré toutes les conditions favorables .Tous les personnages principaux sont malheureux, d'une façon ou d'une autre. Charles lui-même, qui est le seul qui semble connaître le bonheur à un moment donné, nous décrit cet état en passant par la nostalgie, ce qui peut faire penser que le temps a embellit ce passé. Je ne peux pas terminer cette trop longue critique sans mentionner l'excellente qualité de la prose d'Evelyn Waugh: Le roman s'avère être d' une délicatesse, non seulement à cause des lieux si bien décrits et des personnages raffinés qui apparaissent (comme on pourrait le supposer, tout ça se déroule dans un monde assez chic mais surtout par la c'est la maîtrise et surtout l'intelligence - et l'ironie - avec lesquelles il est écrit. Pour ceux qui préfèreraient passer par l'écran. Je l'avais découvert il y a une dizaine d'années en film (avec Emma Thompson, Matthew Goode et Ben Whishaw. Le film m'avait marqué surtout à cause de Ben Wishaw d'une beauté renversante comme le décrit l'auteur mais qui je crois s'éloigne pas mal du roman. Il y a aussi une série dont je viens de regarder le premier épisode apparemment d'une fidélité saisissante de 1981 et qui fut un énorme succès en Angleterre Jeremy Irons et Anthony Andrews. Et si ça peut vous convaincre, une toute nouvelle version en série est en tournage réalisé par Luca Guadagnino (call me by your name) qui me semble tout indiqué pour la réaliser. Ce sera avec Andrew Garfield , Ralph Fiennes,Rooney Mara et et Cate Blanchett... Ce "retour à Brideshead" est un roman à la fois mélancolique, décadent et avec une certaine touche d'humour plutôt noir, ou cynique. Evelyn Waugh s'est démarqué en tant qu'auteur de livres de voyage divertissants et, surtout, de romans satiriques amusants parfois même très drôles mais il a également écrit quelques romans bien moins drôles et très bien écrits comme par exemple avec ce fameux e très célèbre (du moins dans les pays anglosaxons) "Return to Brideshead", écrit pendant une convalescence, au milieu de la guerre mondiale. Le roman est publié en 1945. Il roman raconte la relation du narrateur, le jeune Charles Ryder, avec la noble famille Flyte (ou Marchmain ou Brideshead ... je ne sais pas comment le dire, mais je ne suis qu'un pauvre roturier…): d'abord, avec le dissolu Sébastien, puis avec sa sœur Julia, bien qu'en réalité, toutes les composantes de la famille particulière passent sous le regard scrutateur d'un observateur aussi privilégié, qui en dresse pour nous une vision globale et complète- d'autant plus qu'il a l'œil puisqu'il est peintre - Son récit nous fait assister à la défragmentation et à la décadence de cette famille qui est également censé refléter la décadence et la fin d'une...
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